Parcours
Réélu sans interruption depuis 1994, je suis depuis lors le très apprécié Bourgmestre d’Attert. Cette belle commune du sud de la province du Luxembourg se tient régulièrement en tête des classements : niveau de chômage le plus bas du pays, lieu de résidence où il est le plus agréable de vivre, premier Parc Naturel de Wallonie, unique territoire du pays où l’utilisation du glyphosate est interdite même pour les agriculteurs, l’une des très rares communes de Wallonie où a été lancée une école secondaire communale à pédagogie alternative, etc.
En effet, je suis très soucieux de protéger l’environnement et la santé des effets toxiques de la pollution (environnementale, sonore, etc.). En tant que Bourgmestre, je tiens d’ailleurs à maintenir la gestion de l’eau sous tutelle communale et effectue régulièrement des prélèvements pour vérifier la santé des nappes phréatiques et la qualité de l’eau.
Député fédéral depuis 1995 et Député wallon entre 2014 et 2019, j’ai réalisé plusieurs objectifs qui me tenaient à cÅ“ur. Réputé pour entretenir mes liens solides avec les pays frontaliers, je suis à l’initiative du Fonds de compensation financière qui permet aujourd’hui à toutes les communes de Belgique de recevoir une compensation financière du Grand-Duché de Luxembourg si des citoyens domiciliés sur leur territoire travaillent au Grand-Duché.
Je me suis beaucoup battu pour promouvoir les initiatives communes avec les pays frontaliers et j’ai notamment profité de la création du Parc Naturel de la Vallée de l’Attert en 1993 pour établir une collaboration régulière et pérenne avec les communes luxembourgeoises en matière de promotion culturelle et de protection de l’environnement.
Attert étant située dans la province la plus étendue et pourtant la moins peuplée du pays, je suis l’avocat du maintien des services publics en zone rurale. J’ai cosigné une proposition de loi visant à créer des cités administratives pour permettre aux citoyens de ces zones de continuer à bénéficier de services publics humains dans leur bassin de vie.
Je me suis également beaucoup investi dans la lutte pour le bien-être animal. En 2018, je suis co-auteur avec Christine Defraigne de la loi qui permettra d’interdire l’abattage sans étourdissement des animaux d’élevage en Wallonie. De retour au parlement fédéral en 2019, j’y déposerai un projet pour que soit inscrite la protection du bien-animal dans la Constitution. Dans ma commune, j’interdis les feux d’artifice et la chasse le dimanche.
Effectif en commission de la mobilité de la Chambre depuis 2019, je me réjouis de la prochaine augmentation des navettes de train entre Arlon et le Grand-Duché de Luxembourg promise par Sophie Dutordoir, CEO de la SNCB.
Européen convaincu, j’ai dédié un des locaux principaux de la maison communale à Robert Schuman, un des pères fondateurs de l’Europe à qui l’on doit la création de la Communauté du Charbon et de l’Acier.
Motivé par l’idée d’un progrès dont la définition se peaufine avec le temps sans pour autant se détériorer, résolument optimiste et entreprenant, je m’investirai à l’Europe dans les débats qui viseront à promouvoir la protection de l’environnement, les alternatives aux pesticides, la promotion de l’universalité des droits humains et en même temps la reconnaissance et la protection des spécificités locales, individuelles, culturelles, historiques, etc.